mercredi 5 novembre 2008

Petit compte rendu sur "Rue Libre?" à Strasbourg

La Falar remercie tous les libérateurs de rues, qu'ils soient passant, artiste, philosophe, ergologue, pique-niqueur ou bénévole dans une association.
L'après-midi et la soirée du 25 octobre ne pouvait pas se faire sans eux. Merci donc à la compagnie Enverre et contre tout et sa chaise à porteurs, au théâtre de la Fringale et ses guirlandes, Des racines et moi et sa Bastille itinérante. Nous étions en sécurité dans ces rues libres grâce à la fanfare de la compagnie Azimuts et les alertes de la Crep (Comité de réappropriation de l'espace public). Nous marchions en dansant grâce à la Bande à Batouk. Après un tour de manège, nous regardions passer les cochons d'Hector Protector. Nous nous échappions dans les ZEP du Bruit qu'ça coûte et nous nous heurtions aux mouvements des voyageurs-danseurs de la compagnie E.echo. Nous croisions le regard de la Sorcière aux dents vertes et nous suivions les lèvres des Chercheurs d'air. Nous avons couché sur le papier de l'Atelier ambulant de Valérie Grande, nos dessins avant de nous coucher sur les marches de la culture institutionnelle à l'ombre du haut-parleur de la Chose publique. Nous avons inauguré la drac et avons transformé l'université en salon de thé. Après quelques mots optimistes de Patrick Lafani et Blaise Porcheron, on a défriché les étoiles à la Friche Laiterie. Et maintenant, sous le pavé de Strasbourg et dans les têtes, des brèches pour que les arts de la rue fleurissent de janvier à décembre. A l'année prochaine. Philippe Aubry

1 commentaire:

Flavien a dit…

Bonsoir,

J'ai assisté à l'édition d'octobre de Rue Libre à Strasbourg, et j'aimerai connaître le nom de la petite pièce (et de la troupe) qui nous a été proposée sur les marches du Palais U (à propos de livres).

Merci d'avance !

Flavien